Cette affection est causée par l’inhalation de poussières contenant des spores fongiques. Avec le temps, cela peut nuire à la santé pulmonaire à long terme si le tissu pulmonaire devient cicatriciel.

L’allergie aux acariens, due à l’inhalation d’allergènes d’acariens, est cependant une affection plus courante. L’allergie aux acariens est même l’une des allergies les plus courantes dans le monde.

Dans cet article, nous répondrons à la question suivante : respirer de la poussière peut-il rendre malade? Nous vous expliquerons ce qui se passe dans vos poumons, nous vous donnerons la liste des symptômes auxquels vous devez faire attention et nous vous dirons quelles sont les autres causes possibles. Nous examinerons également les moyens de maîtriser les allergies à la poussière, des stratégies d’évitement aux options de traitement.

Dans cet article, nous répondrons à la question suivante : respirer de la poussière peut-il rendre malade? Nous vous expliquerons ce qui se passe dans vos poumons, nous vous donnerons la liste des symptômes auxquels vous devez faire attention et nous vous dirons quelles sont les autres causes possibles. Nous examinerons également les moyens de maîtriser les allergies à la poussière, des stratégies d’évitement aux options de traitement.

Les poumons apportent de l’air dans votre corps et font passer l’oxygène dans la circulation sanguine. Cependant, l’air peut contenir des particules potentiellement irritantes, comme la poussière, qui, lorsqu’inhalées, peuvent causer toutes sortes de symptômes. Pour prévenir le développement des symptômes, le corps a développé une série de mécanismes de protection, y compris:

• Le recouvrement de la surface intérieure du nez par du mucus: pour capter la poussière et les autres particules avant qu’elles n’atteignent les poumons.
• Le revêtement des voies respiratoires par des cils (parties saillantes ressemblant à des cheveux): ces derniers déplacent le mucus vers le haut et hors des poumons, en éliminant les débris qui s’y trouvent.
• La production de protéines et de macrophages (un type de cellule immunitaire) spéciaux: ils aident à emprisonner et à neutraliser la poussière et les autres particules.

L’effet de la poussière dépend de l’endroit où elle se dépose. Lorsque de grosses particules se coincent dans votre nez, vous pouvez éternuer ou vous moucher pour vous en débarrasser. Parfois, lorsque des particules nocives pénètrent dans les voies respiratoires, elles peuvent causer une bronchite. Si la poussière pénètre profondément dans les poumons, elle peut entraîner de graves complications, comme une accumulation de tissu cicatriciel. Mais cela est plus susceptible de se produire si les symptômes ne sont pas traités pendant une longue période.

Les poumons apportent de l’air dans votre corps et font passer l’oxygène dans la circulation sanguine. Cependant, l’air peut contenir des particules potentiellement irritantes, comme la poussière, qui, lorsqu’inhalées, peuvent causer toutes sortes de symptômes. Pour prévenir le développement des symptômes, le corps a développé une série de mécanismes de protection, y compris:

• Le recouvrement de la surface intérieure du nez par du mucus: pour capter la poussière et les autres particules avant qu’elles n’atteignent les poumons.
• Le revêtement des voies respiratoires par des cils (parties saillantes ressemblant à des cheveux): ces derniers déplacent le mucus vers le haut et hors des poumons, en éliminant les débris qui s’y trouvent.
• La production de protéines et de macrophages (un type de cellule immunitaire) spéciaux: ils aident à emprisonner et à neutraliser la poussière et les autres particules.

L’effet de la poussière dépend de l’endroit où elle se dépose. Lorsque de grosses particules se coincent dans votre nez, vous pouvez éternuer ou vous moucher pour vous en débarrasser. Parfois, lorsque des particules nocives pénètrent dans les voies respiratoires, elles peuvent causer une bronchite. Si la poussière pénètre profondément dans les poumons, elle peut entraîner de graves complications, comme une accumulation de tissu cicatriciel. Mais cela est plus susceptible de se produire si les symptômes ne sont pas traités pendant une longue période.

Les poumons apportent de l’air dans votre corps et font passer l’oxygène dans la circulation sanguine. Cependant, l’air peut contenir des particules potentiellement irritantes, comme la poussière, qui, lorsqu’inhalées, peuvent causer toutes sortes de symptômes. Pour prévenir le développement des symptômes, le corps a développé une série de mécanismes de protection, y compris :

• Le recouvrement de la surface intérieure du nez par du mucus : pour capter la poussière et les autres particules avant qu’elles n’atteignent les poumons.
• Le revêtement des voies respiratoires par des cils (parties saillantes ressemblant à des cheveux) : ces derniers déplacent le mucus vers le haut et hors des poumons, en éliminant les débris qui s’y trouvent.
• La production de protéines et de macrophages (un type de cellule immunitaire) spéciaux : ils aident à emprisonner et à neutraliser la poussière et les autres particules.

L’effet de la poussière dépend de l’endroit où elle se dépose. Lorsque de grosses particules se coincent dans votre nez, vous pouvez éternuer ou vous moucher pour vous en débarrasser. Parfois, lorsque des particules nocives pénètrent dans les voies respiratoires, elles peuvent causer une bronchite. Si la poussière pénètre profondément dans les poumons, elle peut entraîner de graves complications, comme une accumulation de tissu cicatriciel. Mais cela est plus susceptible de se produire si les symptômes ne sont pas traités pendant une longue période.

Voici des exemples de sources de poussière inorganique:

• Silice: peut causer la silicose
• Amiante: est lié au cancer du poumon
• Charbon: peut provoquer une pneumoconiose ou la maladie du poumon noir.

Les symptômes peuvent survenir à tout moment, mais ils sont souvent pires pendant ou immédiatement après l’époussetage, le balayage ou le passage de l’aspirateur. Le processus de nettoyage déplace la poussière, ce qui rend les minuscules particules plus faciles à respirer. 

Si vous avez des allergies à la poussière, utilisez un chiffon humide et portez un masque N95 pendant ces activités.

Vous pouvez suivre ces conseils pour réduire davantage votre exposition à la poussière à l’intérieur:

• Laisser la poussière se déposer: La poussière peut mettre des heures à se déposer après un nettoyage complet. Pensez donc à quitter votre domicile pendant cette période. Si vos enfants ont des allergies à la poussière, essayez de nettoyer lorsqu’ils sont à l’école ou ailleurs. Évitez de nettoyer leur chambre avant d’aller au lit.
• Installer un filtre haute efficacité pour les particules de l’air (HEPA): Utilisez un aspirateur équipé d’un filtre HEPA et envisagez d’équiper votre climatiseur d’un filtre HEPA pour aider à éliminer la poussière de votre maison.
• Entretenir correctement les systèmes de circulation d’air: Changez le filtre au moins quatre fois par an et faites réviser les systèmes de chauffage et les unités de refroidissement deux fois par an.
• Appeler le service de lutte antiparasitaire: Si vous pensez que les déchets de cafards peuvent être à l’origine de vos allergies à la poussière, utilisez des pièges avec un appât non toxique et prévoyez des visites régulières d’exterminateurs professionnels.

Si vous êtes affecté par les acariens, il existe des conseils spécifiques que vous pouvez suivre pour réduire les déclencheurs d’allergie aux acariens dans votre maison.

La rhinite allergique peut être traitée avec des antihistaminiques ou des corticostéroïdes en vaporisateur nasal. Les deux peuvent aider à contrôler l’inflammation et l’irritation de votre nez. Les décongestionnants peuvent aussi aider lorsque l’on a le nez bouché, mais ils ne doivent être pris que pendant une courte période.

Si les acariens provoquent une poussée des symptômes de votre eczéma, il existe des soins de la peau pour empêcher votre peau de devenir trop sèche et de démanger. Votre médecin peut vous aider à ce sujet.

L’allergie aux acariens est parfois traitée par immunothérapie. Le traitement consiste à administrer de petites doses répétées d’un allergène sur une période de trois à cinq ans afin de réadapter votre système immunitaire. Il peut s’agir d’injections ou de comprimés sous votre langue.